Parles-moi de toi, Luc: tes hobby, ton historique professionnelle, …

Je suis un mari et un père de famille comblé. J’ai deux grandes filles qui ont 22 et 20 ans. Je pratique la course à pied depuis toujours, ce qui m’aide à rester en forme. J’ai travaillé environ 20 ans dans le secteur bancaire où le service et la confiance sont des valeurs primordiales, ce qui n’est pas opposé à l’esprit de compétition et l’innovation.
J’ai toujours eu besoin d’apprendre et j’ai fini un Master en Statistiques à la KUL en septembre 2018. Je travaille maintenant dans le domaine très hip de Big Data Analytics. Ce qui m’intéresse dans la démarche scientifique est de permettre de prendre des décisions basées sur des faits, et de réduire ou au moins reconnaître la partie subjective.


Pourquoi avoir décidé de faire du bénévolat?

Ah je ne savais pas que je faisais du bénévolat ! Pour moi, c’est simplement aider des gens que j’aime à mieux vivre à travers la maladie : prendre l’air, faire de l’exercice, sortir de chez eux et profiter de la nature et du soleil, savoir que des gens se soucient d’eux, qu’ils ne sont pas oubliés…

Pourquoi être bénévole pour la Demoucelle Parkinson Charity (DPC)?

Pour le sourire de Patrick, les discussions avec Anne-Marie. Parce que l’espoir et la confiance en l’avenir sont des choix qui changent la vie.

Quelle fût ta plus grande satisfaction à la DPC?

Retrouver mes amis tous les dimanches pour une sortie ensemble.

Et la plus grande frustration à la DPC?

Je n’ai pas vraiment de frustration. Je pense que les associations de soutien aux malades parkinsoniens pourraient collaborer plus, cela leur donnerait sans doute plus de poids.

Qu’est-ce qui te permet de rester motivé les jours difficiles?

Accepter les choses comme elles sont, et apprécier les petits moments de bonheur.


Avec quel genre de personnes aimes-tu travailler?

J’apprécie la diversité mais j’attends certainement que les personnes avec qui je travaille aient du cœur.

Luc Delepine

Patrick & Luc